Hyper Réalisme

berbère du haut-Atlas

Technique
Huile
Support
Toile
Taille
46cmx38cm
Créé pour
Exposition

les portraits du monde

Cette nouvelle toile de la série "Portraits du Monde" nous emmène au Maroc, dans la vallée d'Anergui.
Cette Berbère (Rabkha), est la gardienne du gîte Wihalane dans
la vallée d'Anergui. Cette vallée, une région de montagne habitée
par des populations semi-nomades se trouve à 350kms au nord-est
de Marrakech à 1800 mètres d’altitude.
On remarquera son regard superbement réussi et cette coiffe arabe traditionnelle (keffieh) qui est en fait beaucoup plus complexe qu'on ne le croit, ce n'est pas une "écharpe" pour faire "joli" comme les jeunes occidentaux la portent, mais un outil qui sert à se protéger du soleil,
du vent, de la pluie et du froid. Il existe une multitude de types
de "keffiehs" et de motifs et chacun à un nom bien précis.
Très compliqué à peindre il est lui aussi très bien réalisé.
Le paysage en arrière plan n'est pas en reste.
Comme de coutume, et même un peu plus, ce tableau contient
un grand nombre de cheveux de l’artiste, qui viennent renforcer notamment le réalisme et le relief du keffieh.

Ce tableau a obtenu le prix du public lors d'un salon en 2019.

portraits of the world
This new canvas in the "Portraits of the World" series takes us to Morocco, in the Anergui valley. This Berber (Rabkha), is the guardian of the Wihalane gîte in the Anergui valley. This valley, a mountain region inhabited by semi-nomadic populations is located 350 km north-east of Marrakech at 1800 meters above sea level. We will notice
his superbly successful look and this traditional Arabic headdress (keffiyeh) which is in fact much more complex than we think, it is not
a "scarf" to make "pretty" as the young Westerners wear it, but a tool used to protect yourself from the sun, wind, rain and cold. There are
a multitude of types of "keffiyehs" and patterns, each with a specific name. Very complicated to paint, it is also very well done.
The landscape in the background is not to be outdone.
As usual, and even a little more, this table contains a large number
of the artist's hairs, which especially strengthen the realism
and the relief of the keffiyeh.

This painting won the public price at a fair in 2019.


 

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